Women e Life, toujours prêt à croire au miracle, a retenu sa respiration jusqu’au bout des 96 heures afin de garder espoir d’une possible récupération du Titan et de ses membres d’équipage en vie.
Non, aucune femme ne s’est aventurée à bord du petit sous-marin qui a plongé à 4000 mètres au fond des mers pour relever un défi sans pareil.
Alors que la conquête dans l’Espace bat son plein, l’objectif visait en l’occurence à rejoindre l’épave du Titanic qui a fait naufrage dans l’océan Atlantique Nord en 1912 à la suite d’une collision avec un iceberg, lors de son voyage inaugural de Southampton à New York.
Parmi les cinq passagers à bord, la présence de l’expert maritime français Paul-Henri Nargeolet, permettait malgré les mises en garde formulées par de nombreux spécialistes de croire au possible, à un exploit promis à un retentissement planétaire.
Toutefois, les bruits perçus, dont l’origine n’a pu être réellement déterminée, ne pouvaient masquer le caractère « mission impossible » des équipes et des gigantesques moyens déployés appelés à secourir les cinq membres d’équipage du Titan.
Sachant de bonne source que la pression au niveau de l’épave du Titanic atteint les 380 bars… soit plus de 380 kg de pression par cm2, et que les passagers disposaient d’une réserve de 70 à 96 heures d’oxygène, chacun pouvait mesurer
dés la disparition du submersible les risques encourus par des milliardaires en quête d’aventure spectaculaire.
Nous aurions aimé qu’Elon Musk qui s’impose comme l’un des génies de ce XXIe siècle, avec les nombreuses innovations dont il est l’acteur principal ( Tesla, SpaceX, Starlink etc) et maîtrise les pouvoirs de l’IA dans de multiples domaines, sorte un nouveau joker qui permette de sauver le Titan et son équipage.
Alors que le robot français Victor 6000 de l’Ifremer capable de plonger à 6.000 mètres se trouve sur site pour une ultime tentative de porter secours au sous-marin Titan disparu, et que les réserves de d’oxygène dont disposent les membres de l’équipage sont presque épuisées, on garde néanmoins espoir.
Toutefois, à l’heure où cette chronique est mise en ligne, tout laisse malheureusement penser que le défi du Titan est tombé à l’eau ou plus exactement sous l’eau.
Bien d’autres défis d’avenir liés au réchauffement climatique, au sort de l’humanité sur Terre sont à relever !
De quoi retenir ce qu’écrivait Georges Orwell : « L’ancienne vie a bel et bien disparu, et c’est perdre son temps que de chercher à la retrouver »
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