ALINA KABAEVA DISPOSE T’ELLE D’UN RÉEL POUVOIR AUPRÈS DE VLADIMIR POUTINE ?

En voilà une bonne question !
C’est un peu Gala, un peu people dirons certain(e)s, mais Voici ce qu’il vous faut savoir dans la série Femmes actuelles.
De l’influence notable de la gent féminine sur le comportement de grands hommes, y compris d’État, il a déjà été donné de suivre.
Il serait donc souhaitable qu’on puisse assister une nouvelle fois au pouvoir insoupçonné de l’influence féminine sur le comportement guerrier d’un homme qui fait aujourd’hui figure de criminel de guerre.

Telle est du moins l’hypothèse émise, le 21 mars, dans les colonnes du magazine « Page Six », qui indique que les amies d’Alina Kabaeva, présumée compagne de Vladimir Poutine, l’auraient enjointe à raisonner le président russe, afin que celui-ci mette un terme à la guerre en Ukraine.

En marge des conversations téléphoniques que le président de la Fédération de Russie peut avoir avec ses homologues à la tête de grandes nations qui tentent d’obtenir un retour à la raison concernant l’offensive russe en Ukraine, d’autres possibilités ne peuvent être négligées.

Alina Kabaeva, 38 ans, ex-gymnaste devenue députée du parti Russie unie à la Douma durant huit ans, devenue magnat des médias dispose-t-elle du pouvoir de convaincre l’ancien agent du KGB qu’il fait fausse route ?

D’autant que cette championne de gymnastique rythmique remarquée dés l’âge de 15 ans qui affiche un joli palmarès avec 16 trophées de championne d’Europe, 9 titres de championne du monde, 3 de vice-championne, et une médaille d’or aux Jeux olympiques d’Athènes de 2004, a su par la suite faire carrière en politique.

En 2007, et à seulement 24 ans, Alina Kabaeva était élue députée à la Douma avant de briguer le poste de vice-présidente de la commission pour la jeunesse.
Le 15 février 2008, elle présidait le conseil de surveillance d’un important groupe médiatique pro-Kremlin avant de prendre la tête de l’entreprise, qui réunit le studio de cinéma Art Pictures et les plus grandes chaînes de télévision du pays.

En raison de ses responsabilités politiques et de sa stature d’entrepreneure, sa présence de plus en plus fréquente aux côtés de Vladimir Poutine, notamment lors de dîners de gala, a même laissé filtrer une rumeur de mariage, alimentée par la présence d’une bague à l’annulaire gauche de l’ancienne gymnaste et l’absence de conjoint connu dans sa vie.

Bien entendu, en dépit de rumeurs persistantes, concernant une liaison entre le chef d’État et l’ex-athlète de haut niveau, Vladimir Poutine a toujours nié publiquement.

Pourtant, début mars, « Page Six » assurait que le président russe avait secrètement envoyé sa compagne présumée et leurs quatre enfants – des jumeaux de 3 ans et des jumelles de 7 ans – en Suisse.
Depuis, une pétition qui a déjà récolté plus de 63.500 signatures circule sur Change.org pour qu’Alina Kabaeva quitte le pays.

Bien que les médias russes restent muets à ce sujet et que Vladimir ait mis en place une multitude de périmètres de sécurité, Alina aurait confié à un témoin ne pas savoir si elle peut toujours l’approcher.

Est-il encore possible de convaincre ce personnage d’en rester à la noble conquête que cette femme incarne et de mettre fin à une conquête meurtrière de l’Ukraine qui risque fort de se terminer par un divorce entre la Russie et l’Occident ?
Sans aller jusqu’à parler de happy end compte tenu des nombreuses innocentes victimes de cette guerre, Women eLife aimerait croire que les chemins de la paix et de la vie restent ouverts, mais aussi qu’une voix féminine peut parvenir à se faire entendre et obtienne d’un homme, en l’occurrence chef d’État, un retour à la raison.

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