NELLY KORDA MÉDAILLE D’OR EN GOLF FÉMININ AUX JO 2021

Alors que les Jeux olympiques de Tokyo 2021 touchent à leur fin, Women e Life a voulu démarrer cette dernière chronique avec un Tee shot.

Conscient qu’il faudra sans nul doute un livre pour rapporter tous les exploits sportifs notamment féminins qui ont été récompensés de médailles d’or, d’argent et de bronze, toutes disciplines confondues, il nous fallait conclure avec un beau geste.

Dans l’esprit club, nous avons sélectionné le parcours de Nelly Korda, une golfeuse américaine de 23 ans, qui au-delà de sa victoire samedi, a apporté la démonstration qu’un esprit de famille sportive de haut niveau ne s’invente pas.

Six jours après la victoire de son compatriote Xander Schauffele dans l’épreuve masculine, la médaille d’or remportée par Korda, offre en effet à sa propre famille un résultat qui rivalise avec le trophée de tennis de l’Open d’Australie remporté par son père Petr.
L’Américaine a réussi son deuxième coup dans la zone réglementaire. Elle a mis deux coups de putt pour le par, ce qui lui a permis d’atteindre la plus haute marche du podium.

La sœur aînée de Korda, Jessica, qui a terminé à égalité au 15e rang, a fait une petite danse avant d’embrasser Nelly sur le green, sous les acclamations de leurs coéquipiers américains.

La famille Korda peut s’attendre à de nombreux autres succès sportifs, alors que Jessica a gagné six fois sur le LPGA Tour, sans oublier son jeune frère Sebastian qui a remporté un titre sur le circuit ATP à l’âge de 21 ans.

On retiendra que si l’arrivée a été nerveuse pour la golfeuse japonaise, Inami a finalement décroché la médaille d’argent à l’issue d’un barrage contre la médaillée de bronze néo-zélandaise Lydia Ko.

Aujourd’hui dimanche, le Japon va donc éteindre sa flamme olympique, clôturant ainsi des JO qui ont été bouleversés par la pandémie, mais aussi toute une série d’évènements liés à la politique, et aux conditions imposées aux athlètes pour parvenir à s’emparer d’un titre olympique.

La défection de la sprinteuse biélorusse Krystsina Tsimanouskaya dont nous sommes faits l’écho lorsqu’elle a refusé de prendre un vol de retour dans son pays après avoir été emmenée à l’aéroport contre son gré et a dû se réfugier en Pologne, restera gravé dans les mémoires comme un relent de guerre froide.

Par ailleurs, la réaction de la superstar américaine de gymnastique Simone Biles qui a abandonné brusquement la finale féminine par équipe après avoir tenté un seul saut, invoquant ses inquiétudes pour sa santé mentale et physique a également révélé l’une des failles du système.

Toutefois, la jeune femme de 24 ans est finalement revenue pour remporter la médaille de bronze à la poutre lors de la dernière épreuve du programme de gymnastique féminine. Un temps fort qui a cristallisé sa transformation de championne olympique en défenseur de la santé mentale.

On pourrait aussi parler de l’Italienne Antonella Palmisano qui a été sacrée championne olympique du 20 km marche, une des cinq épreuves délocalisées à Sapporo, à un millier de kilomètres au nord de Tokyo.

Quant à la championne olympique de pentathlon moderne, son nom a pu vous laisser croire qu’il s’agissait d’une Française ayant remporté la médaille d’or aux Jeux olympiques de Tokyo
Eh bien : not at all !

Kate French, fait partie de l’équipe de Grande-Bretagne. Elle a réalisé une brillante série de performances pour devenir la deuxième championne olympique de Grande-Bretagne en pentathlon moderne.

Comme précisé au départ Women e Life ne peut se lancer dans une chronique marathon. Il faudra donc écrire un livre pour revenir sur tous les succès sportifs féminins, toutes les disciplines ayant eu leurs vedettes couronnées de médailles d’or, d’argent et de bronze.

Mesdemoiselles, Mesdames bravo !
Vous comprenez maintenant pourquoi après un fabuleux départ sur un tee shot, Women e Life s’en va enfiler son extraordinaire tee-shirt.

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