DE QUOI REDONNER ESPOIR AUX PAUVRES HOMMES À LA RECHERCHE DE LA PERLE RARE

Women e Life qui n’a pas pour habitude de donner dans le registre presse people, a néanmoins déniché de quoi satisfaire vos rêves de rencontres miraculeuses.
Pour vous en apporter la démonstration, c’est au Japon que nous vous entrainons afin de vous conter une belle histoire vraie.

Après trois ans de fiançailles marquées par un scandale et des spéculations médiatiques, qui ont laissé la nièce de l’empereur, âgée de 29 ans, avec un syndrome de stress post-traumatique, la princesse japonaise Mako a finalement pu épouser mardi un roturier, en toute discrétion.
Une alliance pour le meilleur et pour le pire qui a tout de même imposé à l’heureuse élue quelques sacrifices.

Car en épousant Kei Komuro, un diplômé en droit japonais de 30 ans qui vit à New York, la princesse Mako devient une citoyenne ordinaire, conformément aux lois qui obligent les femmes de la famille impériale à abandonner le statut royal.
Qui plus est, Komuro ne pouvant rester au Japon, Mako devra elle aussi quitter le pays du soleil-levant, malgré toute l’affection qu’elle porte à sa famille.

Démonstration que l’amour de cette née princesse pour son mari ne connaît pas de limite, Mako a également refusé le versement habituel de 1,3 million de dollars accordé aux femmes qui quittent la famille.

Pourtant, la saga des deux amoureux avait commencé assez discrètement en 2017, lorsqu’ils avaient annoncé leurs fiançailles.

Mais c’était sans compter sur les tabloïds qui se sont faits l’écho d’un scandale financier relatif à une dette de 35.000 dollars mettant en cause Kei et sa maman.

Bien qu’à en croire les sondages d’opinion, les Japonais se montrent pour la plupart mitigés concernant l’affaire en question, en l’absence d’explications claires, la dette a fait les choux gras d’une presse toujours très scrupuleuse dés qu’il s’agit d’évènements touchant la famille royale.

Conscient des proportions que prenait cette affaire qui s’est répandue comme une trainée de poudre, Komuro a déclaré que l’argent était un cadeau et non un prêt. Et il a publié en 2021 une explication de 24 pages en précisant qu’il procèderait au remboursement de ladite somme.
Une décision qu’il se devait de prendre, le mariage prévu en février 2018, ayant déjà été reporté à 2020 pour ce motif.

Si vous croyez qu’une telle histoire n’arrive qu’aux autres, vous constaterez que cette dernière n’est pas sans rappeler celle du prince Harry et de Meghan Markle, en Angleterre, qui ont quitté leur rang royal en 2020 pour s’installer aux États-Unis, même si de l’avis d’experts japonais : comparaison n’est pas raison.

Pour le voyage de noce, rendez-vous à New-York.

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