WOMEN e LIFE S’ARRÊTE SUR FACEBOOK EN OUVRANT UNE NOUVELLE PAGE D’ACTUALITÉ

S’apercevoir aujourd’hui que le 45e Président de la première puissance économique mondiale, a mené pendant son mandat le monde par le bout du nez à coup de tweets et d’utilisation des réseaux sociaux a de quoi laisser pantois.
Alors que l’Amérique doit désormais panser ses plaies qui touchent ses organes vitaux, la mission qui revient à Joe Biden désormais 46e président des Etats-Unis et aux membres de son équipe est phénoménale.

Outre la réparation d‘une très douloureuse fracture ouverte de sa démocratie survenue le 6 janvier par l’embrasement du Capitole, le panel des mesures à prendre pour assurer le rapprochement et l’unité du peuple américain est impressionnant.

L’indispensable rapprochement du camp démocrate et républicain trouve entre autres une certaine résonance à travers la procédure d’impeachment et le procès historique en destitution du fauteur de troubles qui place Donald Trump sur le banc des accusés. Qui l’eu cru ?

Dés mardi, le Sénat convoquera officiellement l’ex-président américain pour un procès, qui ne devrait toutefois démarre que le 9 février.

Pourquoi prêter intérêt à cette situation pour le moins inédite ?

Vous allez très vite comprendre ce qui conduit Women e Life à se pencher sur le décor et les acteurs d’une pièce en quatre actes qui a alimenté l’actualité américaine et internationale avant de trouver son épilogue par une scène à laquelle personne n’aurait imaginé assister.

Le scénario met en évidence plusieurs choses : le pouvoir de chefs d’Etat, l’impact de leurs déclarations et actions, mais aussi et surtout les risques liés à l’exploitation par ces derniers des nouvelles technologies de l’information et de la communivation dont les réseaux sociaux sont devenus le parangon.
Voilà pourquoi il est intéressant de s’arrêter sur Sheryl Sandberg, numéro deux chez Facebook.

Tout d’abord pour préciser que son livre intitulé : « En avant toutes, les femmes, le travail et le pouvoir » sortit en 2014, constitue une référence dont la pertinence se confirme aujourd’hui à double titre.

Œuvrer pour que plus de femmes accèdent au pouvoir, qu’elles bénéficient des mêmes opportunités que les hommes, qu’elles osent s’affirmer et assumer leurs choix sont autant de défis que propose Sheryl Sandberg dans ce livre percutant, plein d’énergie et d’humour, à partir notamment de son expérience personnelle.

Après avoir été cheffe de service au sein du département du Trésor des États-Unis où elle a fait partie du programme d’allègement de la dette des pays en voie de développement, cette femme d’affaires américaine, née le 28 août 1969, s’est connectée très tôt aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Classée comme la cinquième femme la plus puissante au monde par le magazine Forbes, Sheryl Sandberg n’est autre que l’actuelle directrice des opérations (COO) de Facebook. Précédemment très impliquée dans différents services de Google, elle a su se tailler au fur et à mesure un rôle déterminant en quelques clics.

Tout aurait été pour le meilleur des mondes si dans une interview accordée en direct à Reuters, elle ne s’était pas trouvée contrainte d’affirmer que l’insurrection survenue au Congrès américain avait certes été orchestrée en ligne, mais sur d’autres plateformes que Facebook.

Il est vrai qu’au vu des évènements qui ont eu lieu à Washington DC, le 6 janvier, mais aussi des fake news adressées par Donald Trump à ses partisans lors de la campagne électorale, ce réseau social a finalement et contre toute attente dû supprimer le compte de Donald Trump.

Comme quoi, référence faite à une récente chronique, les femmes peuvent bel et bien dominer le monde, même en pleine période de soldes.

Facebook a t’il eu raison de procéder de la sorte ? Cette mesure discriminatoire ne menace t’elle pas plus généralement la liberté d’expression ?

Afin de ne laisser subsiter aucune ombre sur le sens de son action, Facebook a demandé à sa «cour suprême» de trancher. Son verdict pourrait avoir un impact majeur pour tous les utilisateurs de ce réseau social.

Partant du principe que lorsqu’on est diffuseur on est pas auteur, un vrai débat s’engage sur l’avenir même de ces plateformes qui véhiculent à travers le monde des informations aussi bonnes que mauvaises sur lesquelles les modérateurs n’ont en réalité quasiment aucun pouvoir.

Am stram gram
Pic et pic et colégram
Bour et bour et ratatam

Laisser un commentaire