FEMINISATION DES ENTREPRISES DU CAC 40 UN SUJET RECURRENT EN PLEINE TOURMENTE BOURSIERE

Mieux valait attendre un rebond significatif des marchés boursiers pour aborder le sujet de cette chronique ayant trait à la féminisation des entreprises du CAC40.

Dans l’attente d’actions des Banques centrales pour endiguer les fâcheuses conséquences du coronavirus sur l’état de santé de l’économie mondiale, une bonne nouvelle est toujours bonne à prendre.

Après une très légère hausse lundi à la clôture (+0,44%), puis une augmentation de plus de 2% en milieu de séance ce mardi, le CAC40 suit Wall-Street tout en longeant les murs, pour cause, aux dires de gestionnaires d’actifs, de « cygne noir », autrement dit de choc externe exceptionnel, sans précédent directement comparable.

Un sentiment partagé par François Villeroy de Galhau, gourverneur de la Banque de France, qui n’a pas manqué de préciser que ce qui l’inquiète particulièrement c’est
: l’éventualité de « la transmission économique de la capacité de production [crise de l’offre] vers la volonté de consommation [crise de la demande] ».

Mais revenons sur la féminisation des entreprises françaises cotées en Bourse, objet de la dernière étude de l’Observatoire Skema.

L’occasion de préciser que la Skema est une grande école de commerce française issue de la fusion récente entre le groupe ESC Lille et le CERAM Business School.

Membre de la conférence des grandes écoles et de la communauté d’universités et établissements Hesam Université, Skema qui est implanté à Lille, Sophia Antipolis, et Suresnes, est également présente, en Chine (Suzhou), aux États-Unis (Raleigh), au Brésil (Belo Horizonte) et en Afrique du Sud (Cape Town)

D’où l’intérêt à la veille du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, de se pencher sur l’édition 2020 de l’étude dirigée par le Professeur Michel Ferrary, chercheur affilié à SKEMA Business School, qui analyse, comme chaque année, la place des femmes au plus haut niveau de l’entreprise.

La chronique audio accessible en podcast vous en dit plus très vite.

Laisser un commentaire